Radiesthésie & Radionique : Le Pilier du Diagnostic dans l’École Française

Publié le 29 novembre 2025 à 22:55

Dans l’École Française de Radionique, la radiesthésie représente bien plus qu’un outil préliminaire : elle est la matrice du diagnostic, la base sur laquelle repose l’ensemble du travail radionique.

Chaque démarche thérapeutique commence par un état des lieux vibratoire, une lecture précise du champ informationnel, qui permet de comprendre ce qui doit réellement être harmonisé.

 

Cette étape fondamentale précède toujours l’intervention de l’Ennéagone Victoria, l’outil dédié à la syntonie et à l’ajustement du remède sélectionné.

Sans diagnostic radiesthésique, l’action de l’Ennéagone ne pourrait être ni ciblée, ni personnalisée.

 

 

 

 

1. La radiesthésie : la lecture fondamentale du terrain informationnel

 

 

La tradition française de radiesthésie est reconnue depuis des décennies pour sa rigueur, son protocole et sa finesse d’analyse.

Elle se distingue par une approche méthodique et structurée du champ subtil.

 

Le praticien utilise principalement :

 

  • le pendule, comme instrument de confirmation,
  • les planches, schémas ou cadrans de recherche,
  • une méthode de questionnement progressive,
  • un protocole de neutralité et de vérification.

 

 

La radiesthésie consiste donc à interroger le champ d’information afin de recueillir les données dont le praticien a besoin pour comprendre :

 

 

Ce qui se passe réellement dans la structure vibratoire d’une personne :

 

 

  • zones de perturbation ou de blocage,
  • surcharge ou affaiblissement,
  • facteurs internes (émotionnels, mentaux, psycho-énergétiques),
  • facteurs externes (environnement, liens, interactions),
  • causes prioritaires à traiter.

 

 

Il ne s’agit pas de symptomatologie, ni d’interprétation psychologique :

c’est une lecture directe de l’organisation vibratoire, telle qu’elle se présente au moment du diagnostic.

 

 

 

 

2. Pourquoi commence-t-on toujours par la radiesthésie ?

 

 

Parce que la radiesthésie est un art de discernement.

Elle révèle non seulement ce qui dysfonctionne, mais aussi dans quel ordre les choses doivent être rééquilibrées.

 

Les objectifs du diagnostic radiesthésique sont multiples :

 

 

✔ Déterminer la nature du déséquilibre

 

 

Chaque situation possède une structure vibratoire différente.

La radiesthésie montre ce qui est réellement actif en profondeur.

 

 

✔ Mettre en évidence les éléments perturbateurs prioritaires

 

 

Tout ne peut pas être traité en même temps.

La radiesthésie identifie ce qui doit être harmonisé en premier pour produire un effet durable.

 

 

✔ Vérifier la pertinence des remèdes radioniques

 

 

Avant toute syntonie, le praticien doit savoir quel remède est réellement adapté à la situation du consultant.

 

 

✔ S’assurer que le remède choisi est cohérent avec l’état du sujet

 

 

L’École Française privilégie toujours l’harmonie, jamais la sur-stimulation.

 

La radiesthésie est ainsi la boussole qui oriente tout le travail radionique.

Elle évite les choix empiriques ou généraux : tout est personnalisé.

 

 

 

 

3. La transition naturelle : du diagnostic radiesthésique au remède radionique

 

 

Quand le diagnostic est établi, la radiesthésie permet d’identifier :

 

  • le type de remède le plus pertinent (parmi la gamme propre à l’École Française),
  • la nature du travail à effectuer,
  • la direction optimale pour la restauration de l’équilibre.

 

 

À ce stade, rien n’est encore syntonisé :

le remède est identifié, mais il doit être ajusté, accordé, afin de correspondre parfaitement à la signature vibratoire du consultant.

 

C’est là qu’intervient la géométrie sacrée.

 

 

 

 

4. L’Ennéagone Victoria : l’outil de syntonie du remède

 

 

L’Ennéagone Victoria est spécifiquement conçu pour :

 

  • accorder le remède au champ vibratoire du sujet,
  • harmoniser l’interaction entre le remède et le consultant,
  • supprimer les discordances,
  • stabiliser et ancrer le travail dans le champ informationnel.

 

 

Il ne s’agit pas d’ajouter quelque chose au remède, ni de le modifier en profondeur :

la fonction de l’Ennéagone est de créer une syntonie parfaite entre la nature du remède et la nature du sujet.

 

 

Sans la radiesthésie, il n’y a pas de direction.

 

 

 

Sans l’Ennéagone, il n’y a pas de syntonie.

 

 

Les deux étapes sont indissociables.

C’est le cœur même de l’École Française de Radionique.

 

 

 

 

5. Une méthode française structurée, précise et internationalement reconnue

 

 

Cette démarche en deux temps — diagnostic radiesthésique puis syntonie par l’Ennéagone Victoria — constitue ce qui fait la spécificité de l’approche française.

Elle est aujourd’hui étudiée et utilisée à l’international pour plusieurs raisons :

 

  • sa précision,
  • son protocole clair,
  • la reproductibilité des résultats,
  • l’intégration d’outils hérités de la tradition (radiesthésie) et de la géométrie moderne (Victoria),
  • son orientation systématique vers l’harmonisation globale.

 

 

La radiesthésie permet de comprendre.

L’Ennéagone permet d’ajuster.

La Radionique française réunit les deux.

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